Enckell Avocats et Tesla annoncent leur fusion
Enckell Avocats et Tesla viennent de créer le cabinet d’avocats Altes. Déjà groupées depuis 2016, la fusion des deux structures et de leurs équipes s’est naturellement imposée et vise avant tout à faciliter la vie des affaires de leurs clients, en fournissant des services encore mieux intégrés. Avec des spécificités complémentaires, les 4 associés réunis renforcent leur efficacité. Lire le communiqué de presse.
Altes Avocats, un cabinet dédié aux nouveaux défis du droit des affaires et de l’environnement
Altes Avocats est un cabinet indépendant et moderne, dédié à la vie des affaires et aux nouveaux défis juridiques, né du rapprochement des équipes des cabinets Enckell Avocats et Tesla.
Altes accompagne ses clients, opérateurs privés, collectivités et syndicats professionnels intervenant principalement dans les secteurs de l’assurance, de l’industrie, de l’énergie, du BTP, de la logistique, de la distribution, de l’agroalimentaire, de la communication, des biotechnologies et activités tertiaires à forte valeur ajoutée.
De par la complémentarité et l’expérience de ses équipes ainsi que la diversité de ses activités et interventions, Altes Avocats offre à ses clients une assistance sur-mesure concrète et efficace, souple et réactive.
Quatre langues étrangères sont parlées au cabinet : anglais, espagnol, italien et serbo-croate.
Altes Avocats
Siège : 6 avenue George V – 75008 Paris
T : +33(0) 146 341 105
F : +33(0) 146 340 955
Mail : cabinet@altes-law.com
Louis Vuitton : le motif à damier ne constitue pas une marque valable
Pour être valable, une marque doit être distinctive, c’est-à-dire permettre aux clients de reconnaître les produits ou services proposés sous cette marque, de ceux des autres entreprises.
Si le signe déposé à titre de marque est dépourvu de caractère distinctif en lui-même (par exemple : la marque est trop descriptive), ce caractère distinctif peut être acquis par l’usage. S’agissant d’une marque de l’Union Européenne (UE), cet usage doit avoir lieu au sein de l’UE, être ancien et suffisamment important pour que le signe utilisé soit perçu directement par le consommateur comme étant une marque.
Si ce principe est simple sur un plan théorique, dans la pratique, la preuve de l’existence de ce caractère distinctif acquis par l’usage est difficile à établir, comme l’illustre l’arrêt du Tribunal de l’Union Européenne (TUE), du 12 octobre 2022, qui a refusé de consacrer l’acquisition par l’usage du caractère distinctif de la marque sur le motif à damier de la pourtant célèbre maison Louis Vuitton.
En l’espèce, en 2015, un citoyen polonais avait saisi la division d’annulation de l’Office de l’Union européenne pour la propriété intellectuelle (EUIPO, à l’époque OHMI) d’une demande en nullité de la marque de l’UE déposée par Louis Vuitton.
La division d’annulation avait fait droit à la demande en annulant la marque, annulation confirmée par la Chambre des recours, considérant que le motif à damier ne constituait pas un caractère distinctif intrinsèque, ni qu’il avait été acquis par l’usage, dès lors que Louis Vuitton ne rapportait pas la preuve de cette acquisition dans six pays de l’UE (en l’occurrence six pays d’Europe de l’Est). Le TUE a validé ce raisonnement, et ainsi, confirmé l’annulation de la marque de Louis Vuitton.
Il a considéré d’une part, que « le motif à damier est un motif figuratif basique et banal,(…) (il) ne comporte ainsi aucune variation notable par rapport à la représentation conventionnelle de damiers et coïncide avec le modèle traditionnel d’un tel motif », le rendant donc dénué de toute distinctivité intrinsèque et d’autre part, que le caractère distinctif acquis par l’usage de cette marque « doit être démontré dans l’ensemble de ce territoire, et non seulement dans une partie substantielle ou la majorité du territoire de l’Union », ce qui n’est pas le cas ici.
Cette décision n’est pas étonnante, l’EUIPO apprécie de manière très stricte l’acquisition du caractère distinctif d’une marque de l’UE par l’usage.
Source :
Référence de l’image : Marque internationale n°986207 déposée par Louis Vuitton Malletier (Data.inpi.fr)
Déchéance partielle d’une marque : nom patronymique et usage trompeur
Dans un arrêt du 12 octobre 2022, la Cour d’appel de Paris a prononcé la déchéance partielle de marques patronymiques en raison de l’usage trompeur fait par leur titulaire. La Cour a également jugé que la garantie d’éviction ne rend pas irrecevable la demande reconventionnelle en déchéance par le cédant.
En l’espèce le créateur Jean-Charles Castelbajac avait cédé les marques JC de CASTELBAJAC et JEAN-CHARLES DE CASTELBAJAC à la société PMJC. Cette dernière l’a attaqué pour contrefaçon car le créateur utilise aujourd’hui son nom patronymique pour promouvoir son activité, notamment sur son site internet.
La Cour a jugé que le créateur usait simplement de sa liberté de présenter ses activités sous son nom et avec sa signature et qu’aucun acte de contrefaçon n’était caractérisé.
En revanche, la Cour a partiellement donné raison à monsieur Castelbajac, qui avait formé une demande reconventionnelle en déchéance de ces marques pour usage trompeur. En effet il reprochait entre autres, à la société PMJC d’induire les consommateurs en erreur, en leur faisant croire que les produits commercialisés sous ces deux marques avaient été conçus par lui ou sous sa direction artistique, alors que ce n’était pas le cas.
Si cette décision est en faveur du créateur, la Cour de Cassation pourrait être saisie d’un pourvoi et donner une interprétation différente concernant la déchéance d’une marque patronymique devenue trompeuse du fait de son titulaire.
Cette décision fait écho aux célèbres jurisprudences en la matière : Ines de la Fressange, Cass. com., 31 janv.2006 et Bordas, Cass. com., 12 mars 1985.
Source :
Déchéance partielle de marques composées du nom patronymique d’un créateur en raison de l’usage trompeur par leur cessionnaire | INPI PIBD ;
RSE des entreprises : un nouveau code de gouvernement de l’Afep-Medef
L’Afep-Medef s’est doté, en décembre 2022, d’un nouveau Code de gouvernance plaçant la stratégie RSE, notamment en matière climatique, au cœur des missions des Conseils d’administration.
La stratégie RSE : une mission essentielle du Conseil d’administration
Le code s’enrichit ainsi d’une nouvelle recommandation, intitulée « Le conseil d’administration et la responsabilité sociale et environnementale ».
Il appartiendra désormais au Conseil d’administration de déterminer les orientations stratégiques pluriannuelles en matière de RSE et à la direction de l’entreprise de présenter les modalités de mise en œuvre de cette stratégie avec un plan d’action et l’horizon de temps dans lequel ces actions seront menées.
Les dirigeants devront informer annuellement le Conseil d’administration des résultats obtenus au dans le cadre de la stratégie RSE préalablement définie.
En matière climatique, cette stratégie devra identifier des objectifs précis, selon des échelles de temps. Les résultats obtenus devront être examinés annuellement par le Conseil d’administration, qui pourra adapter les objectifs et les actions en fonction de l’évolution des technologies et de la situation de l’entreprise ainsi que de ses capacités à mettre en œuvre les mesures préconisées.
La stratégie et les actions engagées devront être présentés aux actionnaires, au moins tous les trois ans, lors d’une assemblée générale ordinaire.
Assortie d’une formation spécifique aux enjeux climatiques
Afin de faciliter la mise en place d’une stratégie RSE et conformément à la pratique soulignée par l’AMF(Autorité des Marchés Financiers) dans son rapport 2022, le nouveau code de gouvernance Afep-Medef préconise que ces sujets soient examinés en amont du conseil d’administration, par des comités spécialisés (Comités RSE), dont la composition est librement définie par les entreprises.
De plus, la formation complémentaire des administrateurs à la RSE devra comporter un volet spécifiquement dédié aux enjeux climatiques.
Qui devra être intégrée dans la rémunération des dirigeants
D’après le communiqué de presse de l’Afep-Medef, l’intégration, dans la détermination de la rémunération des dirigeants, de critères RSE précis et reflétant les enjeux sociaux et économiques les plus importants pour l’entreprise constituerait un levier puissant pour porter ces préoccupations au premier plan.
Les critères quantifiables doivent être privilégiés et l’un d’entre eux au moins doit être lié aux objectifs climatiques de l’entreprise.
A titre d’exemple, et comme le souligne l’AMF, l’indicateur quantifiable peut être fondé sur le taux de réduction des émissions carbone résultant de l’activité de la société par employé.
Une simple référence à l’application d’une politique RSE ou à des enjeux généraux est insuffisante.
Et mise en place rapidement
Face aux enjeux et même si ces nouvelles recommandations ne s’appliqueront qu’aux assemblées statuant sur les comptes des exercices ouverts à compter du 1er janvier 2023 (en pratique les assemblées tenues en 2024), l’Afep et le Medef recommandent aux Conseils d’administration de faire leurs meilleurs efforts pour les appliquer immédiatement.
Sources :
Code de gouvernance Afep-Medef décembre 2022 : www.medef.com
– Nos expertises –
Contrats complexes
- Structuration juridique, fiscale, financière et contractuelle des projets
- Etudes de faisabilité juridique, analyse des risques et audits préalables
- Négociation, rédaction et révision des actes et contrats (joint-ventures, consortiums, partenariats,
- Services, construction et exploitation d’infrastructures)
- Coordination avec les équipes opérationnelles et les différents intervenants
- Mise en œuvre, réalisation et suivi des projets
Energie
- Production d’énergies renouvelables (biomasse, photovoltaïque, éolienne, thermique, hydraulique)
- Montage opérationnel et expertise juridique (construction, concession, marchés)
- Raccordement, extension et déplacement des réseaux,
- Rédaction et négociation des contrats spécifiques en droit privé et public (concession, distribution, partenariats, baux),
- Fiscalité verte,
- Contentieux : CRE, juridictions étatiques, conciliation
Environnement industriel
- Réglementation industrielle et installations classées, prévention des risques
- Intégration des contraintes environnementales dans la gestion des activités économiques
- Traitement des déchets, économie circulaire, assistance à la mise en œuvre du règlement Reach
- Audits d’acquisition et de cession de sites, remise en état des sites et sols pollués
- Responsabilité environnementale, Fiscalité environnementale
- Protection des milieux et des ressources
Propriété Intellectuelle
- Licences et cessions de droits
- Gestion de portefeuilles et stratégie de dépôt, de surveillance et de défense de marques, dessins et modèles
- Formalités auprès des offices nationaux et internationaux
- Procédures d’opposition (contrefaçons, revendication de propriété, noms de domaine)
- Contentieux (brevets, marques, dessins et modèles, droit d’auteur, concurrence déloyale)
Nouvelles Technologies
- Informatique et libertés
- Hébergement et développement de sites internet, E-commerce
- Noms de domaine, ERP, solutions informatiques (progiciels, logiciels), SAAS, Infogérance, etc
Concurrence Distribution
- Concentrations économiques (analyse et audits de concurrence liés aux opérations de rapprochement, pré-notification, notification)
- Accords verticaux et horizontaux
- Accords de fournitures industrielles, de transferts de technologies, de recherche et développement, de spécialisation
- Analyse concurrentielle des pratiques commerciales ; concurrence déloyale
- CGV, accords de coopération commerciale, promotion des ventes
- Réseaux de distribution organisée (réseaux de distribution exclusive, sélective ou en franchise).
Urbanisme Aménagement
- Urbanisme opérationnel et opérations d’aménagement : autorisations, audit, contentieux
- Urbanisme réglementaire : PLU, SCOT; lois Montagne, Littoral
- Maîtrise foncière : expropriation et préemption : DUP
Vie des affaires et des sociétés
- Restructurations et réorganisations juridiques, industrielles, commerciales ou financières
- Fusions / acquisitions
- Opérations d’investissement et de désinvestissement
- Opérations sur le capital et valeurs mobilières complexes
- Relations entre actionnaires
- Gouvernance d’entreprise
- Relations intra-groupe
- Assistance externalisée aux directions juridiques
- Procédures collectives
Construction
- Revues et coordination des documents technico-contractuels des clos et couverts, et des lots techniques (usines, ERP, bureaux et commerces, habitation)
- Contrats de construction et de services (FM, maintenance)
- Référé préventif
- Suivi de marché, gestion des différends et réclamations avant réception
- Expertises amiables et judiciaires
- Responsabilités et garanties légales des constructeurs et assimilés
- Recouvrement des soldes de marché
Risques & Assurances
- Audits des activités, des contrats et compliance
- Cartographie des risques, implémentation et suivi des outils de prévention (dont AMDEC)
- Définition, actualisation et mise en place des politiques qualités
- Sécurité au travail
- Identification et définition de la couverture assurantielle, mise en relation
- Wording, gestion et contentieux des polices d’assurance et programmes internationaux
- Gestion de sinistres (dommages, RC, corporels, ATMP, FIE, sériels, recours subrogatoires, externalisation)
- Gestion de crise (actions d’urgence, de communication, interface)
- Préservation des actifs de l’entreprise
- Pilotage des expertises (civile, administrative, sécurité sociale, pénale)
- Retours d’expériences
Préservation des intérêts & Résolution des conflits
- Formations internes pratiques et/ou juridiques (conducteurs de travaux, chargés d’affaires, responsables techniques et SAV, juristes, risk manager)
- Direction juridique externalisée
- Mesures conservatoires
- Expertises amiables et judiciaires
- Contentieux complexes
- Suivi des dossiers en cassation
- Conciliation et médiation
- Arbitrage
- Responsabilité civile générale et responsabilité des produits
- Responsabilité civile professionnelle
- Responsabilité de l’employeur, faute inexcusable
Altes Avocats,
notre énergie au service de vos projets
– Les associés –
Carl Enckell

Energie / Environnement / Urbanisme et Aménagement
Carl Enckell est spécialisé en droit de l’environnement depuis plus de 15 ans. Il intervient très régulièrement dans les secteurs des énergies renouvelables et de l’environnement industriel, pour lesquels il a su imprimer son empreinte à travers des jurisprudences de principe.
En 2012, il fonde le cabinet d’avocats Enckell Avocats, dont le savoir-faire a été rapidement reconnu, doté d’une « pratique réputée » en droit de l’environnement.
Il a notamment contribué à la sortie du statut de déchets pour les bois d’emballages en juillet 2014, une première en France.
Carl Enckell est chargé de cours à Centrale Supelec (master pro écologie industrielle) et enseigne « Le cadre réglementaire des énergies renouvelables » et « l’autorisation unique » auprès d’EFE.
Il est membre associé de deux comités stratégiques de filières (CSF) : « Eco-industries » (valorisation industrielle des déchets) et « Environnement et responsabilité sociétale » (auprès de l’Afnor). Il est sollicité, en sa qualité d’expert, pour diverses interventions lors de colloques ou de formations.
Sophie de Senilhes

Relations commerciales / Gestion de projets industriels / Ingénierie des sociétés / Concurrence – Distribution
Sophie de Senilhes est avocate au barreau de Paris depuis plus de 25 ans. Elle est spécialisée dans le conseil aux entreprises en ingénierie des sociétés, contrats spéciaux, concurrence et distribution. Elle intervient très régulièrement dans la conception, le montage et la gestion de projets complexes, stratégiques et sur mesure et maitrise parfaitement leurs problématiques spécifiques.
Forte d’une riche expérience professionnelle et d’un double cursus académique, Sophie de SENILHES dispose d’une vision économique des contraintes et de l’environnement des entreprises qui lui a notamment permis de développer une expertise métiers dans les domaines de l’industrie, de la logistique, des messageries de presse, de la santé humaine, de la pharmacie et des entreprises innovantes à fort potentiel et en fort développement.
Après avoir été associée dans plusieurs cabinets, elle participe en 2015, en qualité de fondatrice, à la création du cabinet Tesla.
Sophie de Senilhes participe régulièrement à des colloques ou conférences impliquant des problématiques liées à l’ingénierie des sociétés et aux restructurations. Elle assure des formations à destination de professionnels en Droit Approfondi des Sociétés pour Francis Lefèbvre Formation et est également rédacteur de la bibliothèque d’actes des Editions Francis Lefèvre « Contrats Commerciaux » et « Sociétés ».
Olivier Roux

Nouvelles Technologies / Relations commerciales / Concurrence – Distribution
Olivier Roux est avocat depuis 2000. Il est titulaire du certificat de spécialisation en droit des marques. Il intervient essentiellement dans toutes les matières du droit de la propriété intellectuelle (droit d’auteur « copyright », marques, brevets, modèles, internet et noms de domaine, systèmes d’informations, logiciels (licences, SAAS…), données personnelles) tant en conseil qu’en contentieux, ainsi qu’en contentieux commercial.
Il accompagne des groupes en tant que « support juridique » des Directions des systèmes d’information mais également de jeunes entreprises et des PME acteurs du web (notamment plate-formes d’hébergement, plate-formes de e-commerce, réseaux sociaux, éditeurs d’applications smartphone).
S’agissant plus spécialement de marques, il gère des portefeuilles et dans ce cadre dispose de cabinets correspondants dans des dizaines de pays.
Il est notamment diplômé du Centre d’Etude Internationales de la Propriété Intellectuelle (CEIPI), Université de Strasbourg.
Philippe Savatic

Construction / Préservation des intérêts & Résolution des conflits
Philippe Savatic a d’abord exercé comme juriste chez Fiat France ce qui lui a permis de maitriser les modes de fonctionnement et les problématiques internes inhérents aux environnements industriels et économiques complexes. Il est ensuite devenu avocat et a collaboré auprès de structures spécialisées en risques industriels et en droit des assurances, avant de participer à la création et au développement du cabinet Carakters pendant 7 années et demie.
Philippe consacre une importante partie de sa pratique au contentieux et aux expertises en matière de construction, d’incendies et de dysfonctionnements techniques dans les domaines du BTP, des installations de productions, des produits (biens professionnels et de consommation), ainsi qu’en matière d’accidents et maladie du travail.
Il intervient aussi en amont pour prévenir les risques et sécuriser les activités de l’entreprise au moyen d’audits et de restitutions, de l’aménagement contractuel et des responsabilités, d’aide à la couverture assurantielle la plus pertinente.
Les clients de Philippe sont des assureurs, industriels, constructeurs et mainteneurs qu’il conseille avec réactivité et sous un angle résolument pragmatique.
Philippe est titulaire d’un DEA Droit privé de l’Université Paris II ; il est membre de l’AMRAE et du Club Franco Risk .
Altes law firm, the energy driving your projects
– Notre approche –
Des regards croisés et des compétences complémentaires
Une méthodologie éprouvée
La proximité et la compréhension des enjeux
Analyser
Anticiper
S’adapter
Agir efficacement
Une indépendance totale
Une réelle expérience et implication dans des projets complexes
Une grande connaissance des filières et métiers de nos clients
La réactivité et la disponibilité nécessaires
Une double analyse, dans un souci de sécurité juridique
Un environnement numérique sécurisé
– Nous contacter –
Altes Avocats
Siège : 6 avenue George V – 75008 Paris
T : +33(0) 146 341 105
F : +33(0) 146 340 955
Mail : cabinet@altes-law.com
Parking : Indigo Paris Alma George V
6 avenue George V – 75008 Paris
Métro : Station Alma-Marceau (Ligne 9)
Bureau de Val d’Europe
1, avenue Christian Doppler
Parc Faraday, Bât.4
77700 Serris
Mail : cabinet@altes-law.com